Merci pour cette info, jsp !
Nul doute que nos lecteurs bretons et amateurs de « piano à bretelles » seront intéressés
« Les auteures (Perrine Kevran à la production et Françoise Camar à la réalisation), se sont appuyées sur les travaux réalisés par l’historien Alain Quilleveré sur la spécificité de ce département » est-il écrit dans l’article.
Vous me connaissez : il me fallait en savoir plus sur ces travaux !
J’en ai trouvé la conclusion dans le magazine « Musique bretonne » ( numéros 222 et 223 de la fin 2010) sous le titre « Bals clandestins sous l’Occupation » (article en pdf ).
On y apprend entre autres, à la page 10, deux choses que mes lecteurs bretons liront avec intérêt :
>>> l’accordéon le plus souvent utilisé était chromatique : « sa facilité à le transporter — sous le bras ou sur le porte-bagages du vélo — sa relative robustesse en font l’instrument idéal de ces réunions clandestines ». C’est pour ces mêmes raisons que l’avait choisi Luis Gonzaga ( lire le NB final du commentaire ).
>>> ces bals clandestins ont été pour les Bretons l’occasion de la danse en couple Les gendarmes chargés des procès-verbaux parlaient de « couples de danseurs » , de dañs kof a kof ( « ventre à ventre » ), résultat de l’importation en Bretagne depuis une décennie des bals musettes et de leurs valses, javas, etc.
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